3 réflexions au sujet de « émission de radio « Le téléphone sonne » sur France Inter sur la schizophrénie »

  1. Entendre ce jeune père de 24 ans qui se dit heureux près de sa femme et de son enfant malgrè cette maladie m’à redonné espoir !!!Mon ex belle fille est shizophrène et présente de graves problèmes du fait du refus de se soigner!!!elle à eu 3 enfants de 3 pères différents dont le dernier est mon petit fils.de 3 ans..Depui Janvier 2010 mon fils vit seul avec le petit en allemagne …un jugement à été rendu et la garde est accordé à mon fils à 100°/°…Je m’inquiète beaucoup pour l’avenir de mon petit fils, surtout sur l’héridité de la maladie…Je tiens à dire que je garde pour ma belle fille beaucoup d’affection, mais en ai voulu à sa famille de ne pas avoir prévenu mon fils de la maladie dont elle souffrait….Mon fils s’en est énormement occupée alors qu’elle voulait ignorer son traitement..comme si la venue de mon fils les avaient soulagés…Qouiqu’il en soit pour ma part je reste très traumatisée par ce que j’ai vécu à maintes reprises avec ma belle fille…Sans doute pas préparée j’ai eu très peur lors de ses délires!!!

  2. Bonjour David,

    Je viens de prendre contact avec le webmaster de ce site très intéressant et du coup, grâce à lui, je découvre que mon intervention sur le « Téléphone sonne » a été mise en ligne ici.
    J’y trouve donc votre réaction et y réponds tardivement.
    Je suis donc le « Pierre-Louis » de ce message (par contre, j’ai aujourd’hui 48 ans et non 28), et il se trouve que la deuxième personne qui intervient est mon épouse « Judith ».
    Depuis cette émission de l’eau a coulé sous les ponts et avec un ami (également schizophrène) nous avons ouvert un blog dans le but d’en finir avec la maladie.
    Voici ce site :
    http://schizomanies.blogspot.com/
    Les histoires de schizo sont toutes très différentes mais votre rapport avec votre belle fille m’a ému.
    L’acceptation d’un traitement est fondamental.
    En cherchant bien, si vous le désirez, vous pourrez me joindre si vous, votre petit-fils ou votre fils avez besoin d’aide.
    Bien cordialement.
    Pierre-Louis aka phase3

    1. Janvier 2017 :
      En réécoutant, l’extrait de cette émission où nous intervenions avec Judith, j’ai un petit regret; celui qu’ici nous vendions un peu trop les neuroleptiques comme seule panacée. S’il est vrai qu’ils sont une vraie aide ponctuelle et précieuse, l’idée, in fine, serait de pouvoir vivre , un jour, sans eux. C’est très difficile (presque inconcevable pour certains) mais je suis, tout doucement, en train à le faire.
      Soigner une psychose sans médicaments commence tout juste à être envisageable par certains thérapeutes … et c’est bien.

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