1.
La personne handicapée psychique peut avoir tendance à se surinvestir dans les tâches qui lui sont confiées et à faire preuve d’une assiduité qui peut vite conduire à une intense fatigue et à un stress.
Il convient donc d’être vigilant sur ses horaires de travail et de poser clairement les limites de ses missions.
2.
De même, la vigilance s’impose face à une forme de harcèlement, conscient ou non, de la part de certains collègues qui se servent des fragilités de la personne handicapée psychique pour lui faire peur ou exiger d’elle du travail supplémentaire.
3.
Un suivi professionnel peut être proposé de façon régulière, pour rassurer le collaborateur handicapé (évaluations, formalisation claire et réaliste d’objectifs…).
4.
Quelques attitudes simples suffisent souvent à désamorcer une éventuelle situation de crise et à rassurer la personne handicapée psychique : restez à l’écoute, sans agressivité ni impatience ;
ne répétez pas votre question et laissez la personne s’exprimer jusqu’au bout ;
donnez-lui toujours la possibilité de partir.
Source :
Vivre ensemble. Guide des civilités à l’usage des gens ordinaires
Cahier N°6 : Recruter et accompagner un collaborateur handicapé psychique.
Bonjour ,
On me propose un contrat cui cae j ai une maladie psychique pas facile a vivre et encore moins en groupe .
Je touche AAH est elle cumulable avec se type de contrat ? j ai peur aussi de me retrouver avec des personne en situation de délinquance ,je veux pas replonger j ai du mal a m’investire en groupe pourtant a contrario je veux travailler j ai des connaissance en informatique bureautique aussi un travail individuel m ‘irais très bien voir même en rapport avec la nature.
J’ai pas voulut être comme sa on choisit même le mal être intérieur .