« Happiness Therapy », une comédie romantique sur l’histoire d’un bipolaire (sortie aujourd’hui 30 janvier)

Pat Solatano (Bradley Cooper) est bipolaire.
Il a tout perdu : sa maison, son travail et sa femme.
Il se retrouve même dans l’obligation d’emménager chez ses parents.
Malgré tout, Pat affiche un optimisme à toute épreuve et est déterminé à se reconstruire et à renouer avec son ex-femme. Rapidement, il rencontre Tiffany (Jennifer Lawrence), une jolie jeune femme ayant eu un parcours mouvementé.
Tiffany se propose d’aider Pat à reconquérir sa femme, à condition qu’il lui rende un service en retour.
Un lien inattendu commence à se former entre eux et, ensemble, ils vont essayer de reprendre en main leurs vies respectives.

Sortie en salles le 30 janvier 2013

attention, ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue

. médicaments pris par les personnages du film :
– le « héros » du film : Lithium, Xeroquel/Seroquel, abilify
– « l’héroïne » : Xanax, Effexor

. psychiatre indien (Dr. Patel) (scène marrante où le héros et le psychiatre se retrouvent à un match de football américain !)

. actrice Julia Stiles qui est dans la série de films Jason Bourne

Le film est très drôle.

page du film Happiness Therapy sur Wikipedia.

page du film Happiness Therapy sur allociné

3 réflexions au sujet de « « Happiness Therapy », une comédie romantique sur l’histoire d’un bipolaire (sortie aujourd’hui 30 janvier) »

  1. Ce film est génial ! Il traite du sujet bien trop peu abordé de la bipolarité et de la dépression avec beaucoup d’humour ! Il dédramatise cette maladie, et est tellement juste et vrai !

  2. IMHO, ce film est gentillet, dans le sens ou ils fait le portrait d’un bipolaire attachant et très « noble », ainsi que d’une dépressive attirante. Evidemment, on est au cinema, et Jennifer Lawrence aurait du mal a se faire moins belle qu’elle ne l’est, mais je trouve que ce film manque de réalisme dans le sens ou les bipolaires et depressifs que j’ai pu croiser n’ont pas une présentation aussi irréprochables que ces deux là. De plus, bien qu’il y ait une évocation de la maladie et des traitements, il n’est fait état de presque aucun symptome, l’histoire préférant se concentrer sur le rapport entre les deux héros (normal, me direz vous, c’est une comédie romantique). Etrangement, j’ai trouvé les personnages secondaires beaucoup plus réalistes : le père qui montre de gros OCD, une addiction au jeu et un surinvestissement mystique ; les préjugés de bien des gens alentours, même les danseurs blasés qui s’étonnent qu’on puisse se réjouir de recevoir un cinq !

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