une étude française a prouvé que les immigrés de 1ère, 2e et 3e génération sont plus touchés par les psychoses

particulièrement chez les immigrés originaires des caraïbes françaises (Guadeloupe, Martinique, Guyane) et l’Afrique

.

There is very strong evidence that the prevalence of psychosis is elevated in migrant populations and that this risk persists into the second generation.
However, these results have not been replicated in France, and the prevalence of psychotic disorders in the third generation of migrants remains unknown.
Based on the Mental Health in General Population survey (n=37063), we report for the first time the increased prevalence of psychotic disorders in migrants in France, which persists into the second generation for a single psychotic episode (SPE) (OR=1.43, 95% CI [1.02–2.03], p<0.03) and into the third generation for recurrent psychotic disorder (RPD) (OR=1.78, 95% CI [1.45–2.18], p<0.0001) after adjustment for age, sex, level of education and cannabis use. Complementary statistical analyses of our sample showed a significantly higher risk of single psychotic episode in migrants from the French West Indies and Africa (χ2=17.70, p<0.01). These results are consistent with the socio-developmental model and the psychosis continuum hypothesis.

Univ Lille Nord de France, CHRU de Lille, Lille, France

Psychiatry Department, University Medical Centre of Lille (CHULille), F-59037 Lille, France

Laboratoire de Neurosciences Fonctionnelles et Pathologies (LNFP), Universite « Droit & Sante » Lille (UDSL), Lille, France

Corresponding author at: Fontan Hospital, Lille University Medical Centre (CHRU), F-59037, Lille cedex, France

– Dewi Guardia
– Julia Salleron
– Pierre Thomas
– Jean-Luc Roelandt
– Guillaume Vaiva

Il faudra regarder si l’article parle de l’hypothèse de la « double contrainte ».

source

Une réflexion sur « une étude française a prouvé que les immigrés de 1ère, 2e et 3e génération sont plus touchés par les psychoses »

  1. C’est intéressant à savoir.

    Les immigrés de première génération arrivent plein d’espoir ou de détresse dans leur pays d’accueil. Il n’est pas surprenant qu’ils sont plus sujets à la maladie mentale. Les difficultés en lien à l’intégration expliquent peut-être que leurs enfants sont aussi plus sujets à développés des maladies psychiatriques.

    J’ai entendu parler du « Syndrome de Paris » qui touche particulièrement les Japonais qui vivent un choc (de déception, semble-t-il) lors de leur visite dans la ville lumière. Il y aurait aussi un « Syndrome de Jérusalem ».

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