bonjour madame
je souhaite vous joindre pour discuter avec vous de ma situation, j’ai été diagnostiquée à l’age de 37 ans bipolaire à partir d’une question, j’allais mal et je me suis adressée cmp de mon secteur, le praticien m’a posé une question « je pleurais j’avais des problémes que je pensais insurmontables » et il m’a dit si j’avais des hauts et des bas, par bon sens j’ai dit oui, et il a sauté de joie « vous etes bipolaire » et m’a prescris un traitement , je l’ai pris pendant un an, quand je me suis évéillée à moi meme et revue ma vie , j’ai costaté que je ne ressemble pas du tout aux traits bipolaires, d’ailleurs pendant la durée de la camisole, j’ai cumulé deux emplois, mon avtivité de théatre amateur et mon bénévolat at l’education de mes enfants, j’ai donc arreté les traitements graduellement jusqu’au sevrage; et j’ai repris ma vie tranquille. en juillet 2007, aprés un infarctus je fus prise d’angoisse en attendant les examens que je devais faire en externe, je fus prise d’angoisse et j’ai demandé une hospitalisation en unité légére de psychiatrie, j’aurais mieux fait de suivre les conseils de mon medcin qui voulait m’envoyer en maison de repos, pendant mon hospitalisation, j’ai fait l’objet d’une diffamation de la part de ma soeur sur fond de réglement de compte familial je vous passe les détails, ma fille a été placée sans enquete social chez son pére, un homme dangereux et dépressif qui n’a ni droit de garde ni autorité parentale, j’ai été innterdite de voir ma fille 6 mois parce que je suis » danger « pour elle, maintenant j’ai le droit de la prendre pendant les vaccances le rapport social demandé par la juge était positif et recommandait son retour immédiat sans aucune surveillance, malgré ça et une expertise psychiatrique que j’ai fait à mes frais et qui est positive aussi, la juge demande une deuxiéme expertise psychiatrique, j’ai le sentiment qu’on s’acahrne contre moi et mes droits de mére pour la simple raison que j’ai touché à la psychiatrie à un moment de ma vie. est ce que vous pouvez m’aider, je tiens le coup et je suis lucide, je travaille et je vis normalement dans la société avec des amis, je suis écrivain et j’ai enseigné la philo pendant 10 ans, j’ai été aussi journaliste et aujourd’hui je suis à mon compte comme traducteur et j’ai à c^ôté un mi temps salarié pour plus de revenues, est ce que la bipolarité cette maladie que j’ai attrapé en entretien clinique peut m’empecher de garder la garde de ma fille? sos hanane derkaoui maman de fairouz 6 ans
oui malheureusement quand on a fait de la psychiatrie on vous fait plus confiance
je vie aux quotidien certain étape de ma vie et de malentendu avant cette épisode
qui dure depuis 20 ans j ai a nouveaux travailler était indépendante et je me suis fait une nouvelle vie sans souci après d autre souci car on m avait exclu du milieu familiale en disant que j était devenue folle car il y avait une vérité que personne n as voulu croire ou plutôt il valait mieux dire que j était malade mentale sauf que j ai jamais menti j ai revue certaine personne après cet épisode et la rebelote les problème actuellement cela m as beaucoup déstabiliser fait souffrir quand on peu pas dire que les personne on était très correcte si maintenant je supporte les moquerie et les humiliation comme si détruire m as vie n était pas suffisant et les amie que j avait je voie que je l ai es plus et que cette vie je la subit je la vie même plus la femme sympa que l on apprécier car j était toujours en train de rire elle est morte et vous s avez pour quoi car que ce sois les psy comme la personne responsable de tous ca n as jamais voulu ce rabaisser et a préféré me faire passez pour folle avec le soutient des psy et ca ces nul car actuellement oui il a gagner
la schizophrenie n’est pas une maladie toujours synonyme de gravité . pour en sortir il faut persererer dans les soins sans perdre confiance et s’accrocher à ce qu’on a de plus cher dans notre vie par exemple vous c’est votre fille et votre travail benevole Cela peut durer longtemps cet etat mais il toujours arriver une guérison non pas innatendue mais obtenue par votre courage . Tel a été mon cas .
Je suis d’accord qu’il faut persévérer. J’ai vécu trois psychoses en dix ans, c’était intense ! Maintenant, grâce aux médicaments et à la psychothérapie, je dirais que, sous plein d’aspects, je vais mieux qu’avant même l’apparition de ma maladie. Il faut faire de nos faiblesses des forces. C’est plus difficile à dire qu’à faire, mais n’est-ce pas agréable d’avoir, dans la vie, de beaux défis ?
Nous sommes le 11/12/2010 il est 5h du matin….je souffre de réveil nocturne, mais là n’est pas l’objet de mon mail.
Le sujet c’est… peut on guérir de la schizophrénie ?, j’ai 45 ans j’ai été diagnostiqué à 35 ans suite à une bda concomitante à la rupture douloureuse de mon couple, j’étais sous pression , j’avais repris des études tout en continuant en grande partie à travailler.
J’ai pété les plombs, pour parler simplement, perte du raisonnement, mysticisme, paranoïa, perte de repères temporel, etc, pas d’hallucinations visuelles , pas de voix continuelles, plutôt rarement un appel de mon prénom.
J’ai fait 2 autres épisodes de BDA, sans être alors véritablement sous pression, puis une TS et une dépression de 6 mois.
J’ai été traité par Zyprexa, Solian, Effexor (Haldol Tercian et risperdal lors de mes hospitalisations) et actuellement Abilify 5 mg, un comprimé par jours, j’ai pris 30 kg, que je n’arrive pas à perdre.
J’ai toujours travaillé depuis la survenue de ses troubles, avec plus ou moins de difficultés et à l’exception notable de mes hospitalisations ( qui duraient environ un mois) et de ma dépression , j’ai deux enfants de 22 et 17 ans, j’ai une compagne, je suis propriétaire de ma maison, je l’entretien, je conduis , je travaille comme informaticien, j’ai fait un BAC C maths physique, j’ai un diplome de banque de niveau bac + 2, un diplome d’informatique du même niveau, une licence de sciences et techniques de l’activité physique avec mention, j’ai préparé la capeps à l’iufm.
Je suis isolé bien sur, mais pas seul, pas très convivial, mais socialement intégré tout de même.
j’ai le sentiment d’être guéri… est il possible d’arrêter mon traitement neuroleptique ?
Lors de l’émission de France 5 sur la schizophrénie, l’un des deux psychiatres à parler de la guérison de 30 % des cas de schizophrénies.
Comment savoir si l’on est guéri ? peut on prendre le risque d’arrêter son traitement ?
L’arrêt du traitement , entraîne t’il la disparition des effets secondaires ? peut on envisager si il y a arrêt une perte de poids significative ?
Je rame depuis 10 ans pour perdre mes kilos, l’impression de ramer à contre courant, depuis plus d’un an je posséde un podomètre de poignet, j’ai marché cette année plus de 5 millions de pas… en vain, mon tour de taille culmine autour de 114 cm, j’ai considérablement rééquilibré mon alimentation, privilégiant les légumes, me mettant à la cuisine, lol , rien de gastronomique…j’en suis à me faire des carottes rapées et des pommes de terre bouillies, et à ne pas les acheter toutes prêtes au supermarché du coin.
Je souffre d’apnée du sommeil, probablement liée à mon obésité (imc 33), mes paramètres biologiques à l’exception des triglycérides sont bons, mes genoux commencent à accuser mon poids.
Voila en partie ce qui motive mon souhait d’arrêter Abilify, avec également en tête l’information qui dit que l’espérance de vie des schizophrènes est inférieure de 25 ans à celle des « normaux », je souhaite accompagner mes fils le plus longtemps possible, je ne fume pas ,je ne bois pas, je m’entretiens, (bon d’accord la douche et le brossage des dents c’est dur !), mais je prends un neuroleptique….et je ne pense pas que ce soit sans danger.
J’ai parler d’arrêter Abilify, que je prends actuellement quotidiennement, avec mon psychiatre que je vois mensuellement depuis toutes ces années, et avec qui une relation de confiance s’est établie; mes récidives de BDA se sont déroulées lors de fenêtres thérapeutiques…
Désormais mon psychiatre est contre l’arrêt, son expérience en la matière est négative me dit il.
Pourriez vous m’apporter des informations ou des arguments ?, dans l’un ou l’autre sens (les deux si vous voulez !) afin d’éclairer mes interrogations.
Merci pour votre long commentaire.
Je ne suis malheureusement pas médecin psychiatre.
Je connais un cas de malade qui a arrêté son traitement après avoir eu 40 ans et qui n’a pas rechuté : John Nash.
Si cela vous intéresse, vous pouvez regarder ce documentaire sur lui http://schizophrenies.wordpress.com/2010/01/31/documentary-on-john-nash-a-brilliant-madness/
où je crois qu’il aborde un peu le sujet de l’arrêt du traitement.
Cependant, je ne vous conseille pas d’arrêter et je pense que votre médecin psychiatre a raison. Essayer d’en reparler avec lui.
Sinon, vous pouvez en parler sur le forum médical Atoute sur la schizophrénie : http://www.atoute.org/n/forum/forumdisplay.php?f=8
Je parle ici : http://www.youtube.com/user/phase3phaz3#p/u/5/AVYX56mIGik de la maladie avec des médecins il y a quelques années.
Je me retrouve beaucoup dans ce témoignage de Gonzales.
J’ai également le même traitement (10mg d’Abilify tous les jours pairs).
Il faut être très prudent quand à l’arrêt des neuroleptiques (au moins 10 ans sans crise). On ne parle pas de guérison mais de cicatrisation.
Oui, l’arrêt du traitement entraîne l’arrêt des effets secondaires mais il y a de gros risques de rechute.
Tout cela est dans le blog http://schizomanies.blogspot.com/
je suis décu de voir le regard que porte les medias sur les maladies psychiques en general,ce n est a mes yeux qu un pretexte a but discriminatoire tout comme les propos racistes. il est desormais obligatoire d apartenir a une « case », que ce soit a pole emploi ou a la banque,et c est loin d etre un avantage que cela soit pour des gens malades ou meme en bonne santé. la maladie est suffisament handicapante en elle meme, et le fait de vouloir expliquer aux gens en montrant la plupart du temp dans les medias, soit la violence, soit la différence, n aide a mon avis personne.
j ai vu dans plusieurs forums,que l on parle de ce grand matheux, john nash. faut t il etre reconnu par le monde entier pour etre consideré comme » normal » ou plutot « homme d exeption »?
certains parlent de l arret du traitement qui serai dangereux pour certains schizophrenes,le risque de rechute,alors que les psy en rajoutent.
les scandales mediatiques des schizophrenes violents sont toujours au journal de 20h, en revanche, quel schizophrene montre son visage decouvert alors qu il a une bonne situation? quand parle t on vraiment des problèmes de santé qu’engendrent les traitements et meme des deces due à la prise de poid,et autres effets secondaires.
puisque les maladies psychiques sont si bien traitées,pourquoi n y a t il jamais de place en hp?
a force d etre considerés comme malades de la peste, petites gens ou mis a l écart, au final, pourquoi aller consulter ces vendeurs de drogues, aussi impuissants que les malades devant ces maladies.
il existe suffisament de mépris pour en créer d avantage inutilement et puisqu il s agit de « cases », a défaut de pouvoir choisir la bonne santé, le minimum serait le respect pour ceux qui ne l ont pas.
Merci pour votre commentaire.
Deux remarques :
– les neuroleptiques ne sont pas des drogues, il n’y a pas de dépendance ni d’accoutumance ;
– et il n’y a pas de morts dus à la prise de poids. Avec une bonne hygiène de vie la prise de poids est limitée et il existe toujours la possibilité de changer de traitement, tous les médicaments ne font pas grossir.
la plupart des traitements font grossir, que cela soit pour un schizophrene, un bipolaire ou un depressif. de plus, parler d hygiene de vie, pourquoi faire? a qui?
il suffit de se ballader sur les forums pour se rendre compte que la prise de poid n est pas « limitée »,grossir de 30 kilos n est pas exeptionel quand on regarde les commentaires.quand a la définition d une drogue, je ne suis pas venu pour jouer sur les mots, et pourtant…
regardez 2 minutes la video sur les dangers du zyprexa,vous verrez qu une mere parle de son fils decedé a cause des effets secondaires du zyprexa. quand bien meme la prise de poid excessive ne tue pas a 20 ans ou 30 ans, quand est t il a 40 ou 50 ans? l addition est salée pour le coeur entre le stress, la prise de poid et le manque d activitées, sans parler du reste (cigarettes alcol..)
je comprend que ce commentaire ainsi que le précedent puisse déplaire a certains, mais la libertée d expression me permet jusqu’a present, de dire se que je pense, et ne vais pas m en priver.
Il est faux de dire que la plupart des traitements font grossir. Seuls le Zyprexa et un peu le Risperdal et le Solian font grossir. Et il existe d’autres neuroleptiques qui ne font pas grossir : abilify, Leponex….
Les anti-dépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotine ne font pas grossir. Le lithium et le Depakote prescrits aux bipolaires ne font pas grossir non plus à ma connaissance.
J’ai un ami qui est sous Zyprexa depuis 2 ans est il n’est pas obèse.
Je maintiens que les neuroleptiques ne sont pas classés comme stupéfiants. Seuls les anxyolitiques de la classe des benzodiazépines provoquent une dépendance et une accoutumance.
L’alcool est fortement déconseillé avec la prise de neuroleptiques, si les patients boivent, c’est leur problème, pas celui des laboratoires.
J’ai regardé la vidéo sur le Zyprexa dont vous m’avez donné le lien. Je ne renie pas ce qui est dit mais la journaliste de France 2 oublie de dire que le laboratoire Lilly est l’un des seuls à communiquer sur la schizophrénie : ils ont ouvert le site « Schiz’ose dire » et il publie 2 revues :
– une sur le trouble bipolaire, la brochure « Biponews » ;
– une autre sur la schizophrénie, la brochure « J’avance ».
Et encore une fois il existe des neuroleptiques qui ne font pas grossir.
Quant à la liberté d’expression, elle est encadrée par la loi et comme je suis éditeur de ce site schizophrenies.wordpress.com et responsable de ce qui s’y dit, je ne laisse pas dire n’importe quoi sur les traitements qui soignent des malades.
je suis d accord .on départ on consulte ! j ai consulté . j ai prit du poids j ai tout arrêté mon psychiatre ne m entendait pas …Je trouve que l on est pas considéré.Il n y à jamais de place .Je vais voir mon médecin demain soir car je suis au bord du suicide .J’en ai assez de vivre cela .je me suis isolé des autres . Kelimportance je me retrouve dans ces propos mais on dira que c est normal si je suis BI Polaire . Je ne ressens pas l aide et je n’ai pas était déclarer en longue maladie .Par manque d’argent j ai tout arrêté . Je me sens très mal seule et incomprise . J’ai 43 ans Je traîne cela depuis longtemps et je me sens très fatigué . J’ai trouvé un CDI ,les horaires me sont difficiles et mon métier est dur et je me demande à quoi bon vivre ainsi ! J’ai l impression d’avoir une chaine aux pieds .
Il est vrai que la plupart des traitements font grossir mais pas tous autant.
Du coté des neuroleptiques, les prises de poids les plus élevées sont retrouvées avec l’olanzapine (Zyprexa) et la clozapine (Leponex), et celui qui fait visiblement le moins grossir est l’aripiprazole (Abilify).
Du coté des antidépresseurs, les ISRS entrainent souvent une prise de poids. Seul la fluoxetine (Prozac) semble avoir un effet plus régulateur sur l’appetit.
Les thymorégulateurs sont également associés à des prises de poids, à commencer par le divalproate (Dépakote), mais aussi le lithium et la carbamazépine (Tegretol).
Les symptômes de sevrages surviennent avec la plupart des psychotropes, à commencer par les benzodiazépines mais aussi les antidépresseurs, thymorégulateurs et neuroleptiques. Il ne s’agit pas de les considérer pour autant comme des stupéfiants. Il s’agit de médicaments, et un médicament n’est jamais anodin. Le syndrome de sevrage peut-être évité par une diminution très progressive des doses. Il est parfois difficile de faire la part entre syndrome de sevrage et authentique rechute, même pour les médecins. Il faut pourtant se référer aux équipes de soins et non à la propagande des sectes qui envahit régulièrement le web à travers des blogs ou des interventions sur les forums.
je suis nul en ordinateur, mais je ne comprends pas que vous n’ayez pas signalé l’émission C’est dans l’air d’ yves calvi hier soir , crimes: la part des fous qui traitait de la schizophrénie et qui était passionnante; le 21 décembre 2011
bonjour je suis sous risperdal 50mg tous les 14 jours
je voudrais arreter definitvement en passant aux medicaments et en baissant graduelement
pouvez vous me donner le contact d’un psy qui m’autoriserait à arreter ce traitement?
merci.
En résumé: Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau
Pendant des siècles, on a considéré le cerveau humain comme un organe figé. Or, les recherches récentes ont mis en évidence ses incroyables capacités de réorganisation structurale et fonctionnelle. Après s’être penché sur la plasticité neuronale et ses effets possibles sur des handicaps physiques dans un premier film diffusé par ARTE en 2009, le psychiatre Norman Doidge explore ici les implications de ces capacités d’adaptabilité dans le traitement des troubles mentaux. Du Canada à l’Espagne, il part à la rencontre de chercheurs qui, s’appuyant sur « les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau » – titre du best-seller du docteur Doidge, paru chez Belfond en 2008 -, pourraient révolutionner le quotidien des patients atteints de troubles obsessionnels compulsifs, de stress post-traumatique, d’aphasie ou de schizophrénie, et leur offrir un espoir de guérison.
bonjour jai besoin de reponse jme suis marier avec un homme il et super gentil mes il a un probleme de drogue je suis enceinte de 36 sem il a un trouble de personaliter et il est schysophrene il la su resament il est en prison il sort la semaine qui senvien et senva dans un grand centre de dexintoc mes il a deja ete violent avec moi et je les prit mes mtn je vais avoir notre petite fille jai peur de ses comportement il pense que je planifie de le tuer que tous le monde est apres lui il minsulte 5 min apres il change de discour il senva pendant 3mois dans se centre et je pense pas retourner avec il paranoid extrement il menase souvent de me jeter dehore son que jai rien fais et meck que ma fille est la jai peur comment sa va se passer il est schysoprene plus trouble de personaliter et il ses montrer violent envere moi vous me conseiller quoi
Quitte à paraître un peu méchant, je te répondrai que quand on fait un enfant, il faut savoir avec QUI on le fait.
Maintenant, je trouve tout cela très triste pour ton bébé.
Bon courage quand même !
Bonjour,
Je suis étudiante assistante sociale en dernière année, dans un hôpital psychiatrique, où je travaille avec mes patients en co-construction sur leur projet de vie et la réalité sociale.
Je suis en train de rédiger mon mémoire de fin d’étude sur la prise en charge sociale des personnes schizophrènes. Je cherche à savoir si le modèle social actuel est adapté (ou en quoi il ne l’ai pas) à cette maladie et me questionne sur des ajustements à mettre en place dans la relation AS/schizophrène, allant vers le mieux être du patient et son autonomie.
Je cherche des personnes soufrant de schizophrénie qui accepteraient de répondre à mon cour questionnaire (2 pages), que j’ai construis de façon à être le moins intrusif possible. Celui-ci est anonyme et servira de base à ma réflexion. Si vous acceptez de me consacrer un peu de votre temps, vous pouvez m’envoyer un mail ed.sas@live.fr, pour que je vous l’envoie. En espérant que mon travail vous parle. Merci d’avance et bonne continuation.
je suis bipolaire
diagnostiquee il y a 18 ans
nombreux sejour en hopital
je vie en Australie
tentative de suicide en janvier dernier, cette annee a ete tres dure , plus de semaines de sejour a l’hopital qu’a ma maison
je suis de retour a l’hopital ou j’ai commencer les seances d’electrochoc therapy
je voudrais bien des avis sur d’autre personne qui ont recu ses traitements aussi
Bonjour;
Je suis diagnostiqué bipolaire type II depuis une année, je prends du Zeprexa 10 mg et Tegretol, je travaille normalement la plupart du temps, sauf quelques effets secondaires comme la somnolence et l’étourdissement que je parviens au fil des jours à s’accommoder. Je veux savoir si la bipolarité est guérissable, sincèrement je commence à perdre gout à la vie, désintérêt aux activités quotidiennes (sport, associations, cercle d’amis…) je sombre de plus en plus dans la solitude qui est devenue mon mode de vie favori et au quotidien (je communique peu), je pense à arrêter ces médicaments pour mettre fin à cette cauchemardesque maladie qui est le trouble bipolaire (mood disorder)
C’est très difficile Lounes . Je vis cette situation.. Je me plais dans cette solitude et en même temps je me sens seule. Il y a une chose que j’ai appris c’est de ne pas arrêter le traitement . Parle en à ton psychiatre , dit lui que tu as des effets secondaires « somnolence au travail c’est pas top ».
Parfois après mes déprime je pète le feu ..puis je suis dans le BURN OUT total sans contrôler.
N’arrête pas des médicaments . Bon courage ..Garde tes amies , amis , ta famille c’est très important . Ce ou ces troubles altères notre façon de penser . Les gens ne peuvent pas comprendre notre souffrance pourtant certains s’y intéressent. De nombreuses associations peuvent d’aider .. tu vas y arriver.
BONJOUR,
tout d’abord tu n’es pas seule, ensuite ne pas te soigner est très dangereux. Si tu as l’impression de ne pas être écouté(e), n’hésites pas à changer de psy. Cette maladie est un peu plus reconnue qu’avant. Les médicaments permettent d’atténuer pas mal de symptômes, mais il y a du « travail personnel » à fournir. La vie est belle et il faut en profiter. On peut s’en sortir, c’est certes difficile, mais on apprend à vivre avec la bipolarité. Cela fait de nous des personnes différentes, c’est dans cette différence que nous sommes plus fort que les autres. bon courage à tous Marie-Laure
bonjour madame
je souhaite vous joindre pour discuter avec vous de ma situation, j’ai été diagnostiquée à l’age de 37 ans bipolaire à partir d’une question, j’allais mal et je me suis adressée cmp de mon secteur, le praticien m’a posé une question « je pleurais j’avais des problémes que je pensais insurmontables » et il m’a dit si j’avais des hauts et des bas, par bon sens j’ai dit oui, et il a sauté de joie « vous etes bipolaire » et m’a prescris un traitement , je l’ai pris pendant un an, quand je me suis évéillée à moi meme et revue ma vie , j’ai costaté que je ne ressemble pas du tout aux traits bipolaires, d’ailleurs pendant la durée de la camisole, j’ai cumulé deux emplois, mon avtivité de théatre amateur et mon bénévolat at l’education de mes enfants, j’ai donc arreté les traitements graduellement jusqu’au sevrage; et j’ai repris ma vie tranquille. en juillet 2007, aprés un infarctus je fus prise d’angoisse en attendant les examens que je devais faire en externe, je fus prise d’angoisse et j’ai demandé une hospitalisation en unité légére de psychiatrie, j’aurais mieux fait de suivre les conseils de mon medcin qui voulait m’envoyer en maison de repos, pendant mon hospitalisation, j’ai fait l’objet d’une diffamation de la part de ma soeur sur fond de réglement de compte familial je vous passe les détails, ma fille a été placée sans enquete social chez son pére, un homme dangereux et dépressif qui n’a ni droit de garde ni autorité parentale, j’ai été innterdite de voir ma fille 6 mois parce que je suis » danger « pour elle, maintenant j’ai le droit de la prendre pendant les vaccances le rapport social demandé par la juge était positif et recommandait son retour immédiat sans aucune surveillance, malgré ça et une expertise psychiatrique que j’ai fait à mes frais et qui est positive aussi, la juge demande une deuxiéme expertise psychiatrique, j’ai le sentiment qu’on s’acahrne contre moi et mes droits de mére pour la simple raison que j’ai touché à la psychiatrie à un moment de ma vie. est ce que vous pouvez m’aider, je tiens le coup et je suis lucide, je travaille et je vis normalement dans la société avec des amis, je suis écrivain et j’ai enseigné la philo pendant 10 ans, j’ai été aussi journaliste et aujourd’hui je suis à mon compte comme traducteur et j’ai à c^ôté un mi temps salarié pour plus de revenues, est ce que la bipolarité cette maladie que j’ai attrapé en entretien clinique peut m’empecher de garder la garde de ma fille? sos hanane derkaoui maman de fairouz 6 ans
bonjour
oui malheureusement quand on a fait de la psychiatrie on vous fait plus confiance
je vie aux quotidien certain étape de ma vie et de malentendu avant cette épisode
qui dure depuis 20 ans j ai a nouveaux travailler était indépendante et je me suis fait une nouvelle vie sans souci après d autre souci car on m avait exclu du milieu familiale en disant que j était devenue folle car il y avait une vérité que personne n as voulu croire ou plutôt il valait mieux dire que j était malade mentale sauf que j ai jamais menti j ai revue certaine personne après cet épisode et la rebelote les problème actuellement cela m as beaucoup déstabiliser fait souffrir quand on peu pas dire que les personne on était très correcte si maintenant je supporte les moquerie et les humiliation comme si détruire m as vie n était pas suffisant et les amie que j avait je voie que je l ai es plus et que cette vie je la subit je la vie même plus la femme sympa que l on apprécier car j était toujours en train de rire elle est morte et vous s avez pour quoi car que ce sois les psy comme la personne responsable de tous ca n as jamais voulu ce rabaisser et a préféré me faire passez pour folle avec le soutient des psy et ca ces nul car actuellement oui il a gagner
la schizophrenie n’est pas une maladie toujours synonyme de gravité . pour en sortir il faut persererer dans les soins sans perdre confiance et s’accrocher à ce qu’on a de plus cher dans notre vie par exemple vous c’est votre fille et votre travail benevole Cela peut durer longtemps cet etat mais il toujours arriver une guérison non pas innatendue mais obtenue par votre courage . Tel a été mon cas .
Je suis d’accord qu’il faut persévérer. J’ai vécu trois psychoses en dix ans, c’était intense ! Maintenant, grâce aux médicaments et à la psychothérapie, je dirais que, sous plein d’aspects, je vais mieux qu’avant même l’apparition de ma maladie. Il faut faire de nos faiblesses des forces. C’est plus difficile à dire qu’à faire, mais n’est-ce pas agréable d’avoir, dans la vie, de beaux défis ?
Bonjour
Nous sommes le 11/12/2010 il est 5h du matin….je souffre de réveil nocturne, mais là n’est pas l’objet de mon mail.
Le sujet c’est… peut on guérir de la schizophrénie ?, j’ai 45 ans j’ai été diagnostiqué à 35 ans suite à une bda concomitante à la rupture douloureuse de mon couple, j’étais sous pression , j’avais repris des études tout en continuant en grande partie à travailler.
J’ai pété les plombs, pour parler simplement, perte du raisonnement, mysticisme, paranoïa, perte de repères temporel, etc, pas d’hallucinations visuelles , pas de voix continuelles, plutôt rarement un appel de mon prénom.
J’ai fait 2 autres épisodes de BDA, sans être alors véritablement sous pression, puis une TS et une dépression de 6 mois.
J’ai été traité par Zyprexa, Solian, Effexor (Haldol Tercian et risperdal lors de mes hospitalisations) et actuellement Abilify 5 mg, un comprimé par jours, j’ai pris 30 kg, que je n’arrive pas à perdre.
J’ai toujours travaillé depuis la survenue de ses troubles, avec plus ou moins de difficultés et à l’exception notable de mes hospitalisations ( qui duraient environ un mois) et de ma dépression , j’ai deux enfants de 22 et 17 ans, j’ai une compagne, je suis propriétaire de ma maison, je l’entretien, je conduis , je travaille comme informaticien, j’ai fait un BAC C maths physique, j’ai un diplome de banque de niveau bac + 2, un diplome d’informatique du même niveau, une licence de sciences et techniques de l’activité physique avec mention, j’ai préparé la capeps à l’iufm.
Je suis isolé bien sur, mais pas seul, pas très convivial, mais socialement intégré tout de même.
j’ai le sentiment d’être guéri… est il possible d’arrêter mon traitement neuroleptique ?
Lors de l’émission de France 5 sur la schizophrénie, l’un des deux psychiatres à parler de la guérison de 30 % des cas de schizophrénies.
Comment savoir si l’on est guéri ? peut on prendre le risque d’arrêter son traitement ?
L’arrêt du traitement , entraîne t’il la disparition des effets secondaires ? peut on envisager si il y a arrêt une perte de poids significative ?
Je rame depuis 10 ans pour perdre mes kilos, l’impression de ramer à contre courant, depuis plus d’un an je posséde un podomètre de poignet, j’ai marché cette année plus de 5 millions de pas… en vain, mon tour de taille culmine autour de 114 cm, j’ai considérablement rééquilibré mon alimentation, privilégiant les légumes, me mettant à la cuisine, lol , rien de gastronomique…j’en suis à me faire des carottes rapées et des pommes de terre bouillies, et à ne pas les acheter toutes prêtes au supermarché du coin.
Je souffre d’apnée du sommeil, probablement liée à mon obésité (imc 33), mes paramètres biologiques à l’exception des triglycérides sont bons, mes genoux commencent à accuser mon poids.
Voila en partie ce qui motive mon souhait d’arrêter Abilify, avec également en tête l’information qui dit que l’espérance de vie des schizophrènes est inférieure de 25 ans à celle des « normaux », je souhaite accompagner mes fils le plus longtemps possible, je ne fume pas ,je ne bois pas, je m’entretiens, (bon d’accord la douche et le brossage des dents c’est dur !), mais je prends un neuroleptique….et je ne pense pas que ce soit sans danger.
J’ai parler d’arrêter Abilify, que je prends actuellement quotidiennement, avec mon psychiatre que je vois mensuellement depuis toutes ces années, et avec qui une relation de confiance s’est établie; mes récidives de BDA se sont déroulées lors de fenêtres thérapeutiques…
Désormais mon psychiatre est contre l’arrêt, son expérience en la matière est négative me dit il.
Pourriez vous m’apporter des informations ou des arguments ?, dans l’un ou l’autre sens (les deux si vous voulez !) afin d’éclairer mes interrogations.
dans l’attente de vous lire
Je vous prie d’agréer mes sincères salutations
Speedy
Bonjour Gonzales,
Merci pour votre long commentaire.
Je ne suis malheureusement pas médecin psychiatre.
Je connais un cas de malade qui a arrêté son traitement après avoir eu 40 ans et qui n’a pas rechuté : John Nash.
Si cela vous intéresse, vous pouvez regarder ce documentaire sur lui
http://schizophrenies.wordpress.com/2010/01/31/documentary-on-john-nash-a-brilliant-madness/
où je crois qu’il aborde un peu le sujet de l’arrêt du traitement.
Cependant, je ne vous conseille pas d’arrêter et je pense que votre médecin psychiatre a raison. Essayer d’en reparler avec lui.
Sinon, vous pouvez en parler sur le forum médical Atoute sur la schizophrénie :
http://www.atoute.org/n/forum/forumdisplay.php?f=8
Bonjour,
Je suis également schizophrène (la maladie s’est révélée quand j’avais 21 ans : http://schizomanies.blogspot.com/2010/12/premiere-hospitalisation.html )
Je parle ici : http://www.youtube.com/user/phase3phaz3#p/u/5/AVYX56mIGik de la maladie avec des médecins il y a quelques années.
Je me retrouve beaucoup dans ce témoignage de Gonzales.
J’ai également le même traitement (10mg d’Abilify tous les jours pairs).
Il faut être très prudent quand à l’arrêt des neuroleptiques (au moins 10 ans sans crise). On ne parle pas de guérison mais de cicatrisation.
Oui, l’arrêt du traitement entraîne l’arrêt des effets secondaires mais il y a de gros risques de rechute.
Tout cela est dans le blog http://schizomanies.blogspot.com/
A+
je suis décu de voir le regard que porte les medias sur les maladies psychiques en general,ce n est a mes yeux qu un pretexte a but discriminatoire tout comme les propos racistes. il est desormais obligatoire d apartenir a une « case », que ce soit a pole emploi ou a la banque,et c est loin d etre un avantage que cela soit pour des gens malades ou meme en bonne santé. la maladie est suffisament handicapante en elle meme, et le fait de vouloir expliquer aux gens en montrant la plupart du temp dans les medias, soit la violence, soit la différence, n aide a mon avis personne.
j ai vu dans plusieurs forums,que l on parle de ce grand matheux, john nash. faut t il etre reconnu par le monde entier pour etre consideré comme » normal » ou plutot « homme d exeption »?
certains parlent de l arret du traitement qui serai dangereux pour certains schizophrenes,le risque de rechute,alors que les psy en rajoutent.
les scandales mediatiques des schizophrenes violents sont toujours au journal de 20h, en revanche, quel schizophrene montre son visage decouvert alors qu il a une bonne situation? quand parle t on vraiment des problèmes de santé qu’engendrent les traitements et meme des deces due à la prise de poid,et autres effets secondaires.
puisque les maladies psychiques sont si bien traitées,pourquoi n y a t il jamais de place en hp?
a force d etre considerés comme malades de la peste, petites gens ou mis a l écart, au final, pourquoi aller consulter ces vendeurs de drogues, aussi impuissants que les malades devant ces maladies.
il existe suffisament de mépris pour en créer d avantage inutilement et puisqu il s agit de « cases », a défaut de pouvoir choisir la bonne santé, le minimum serait le respect pour ceux qui ne l ont pas.
Merci pour votre commentaire.
Deux remarques :
– les neuroleptiques ne sont pas des drogues, il n’y a pas de dépendance ni d’accoutumance ;
– et il n’y a pas de morts dus à la prise de poids. Avec une bonne hygiène de vie la prise de poids est limitée et il existe toujours la possibilité de changer de traitement, tous les médicaments ne font pas grossir.
deux liens :
http://www.drogues-dependance.fr/medicaments_psychoactifs.html
http://www.dailymotion.com/video/x44aad_zyprexa-danger_tech
la plupart des traitements font grossir, que cela soit pour un schizophrene, un bipolaire ou un depressif. de plus, parler d hygiene de vie, pourquoi faire? a qui?
il suffit de se ballader sur les forums pour se rendre compte que la prise de poid n est pas « limitée »,grossir de 30 kilos n est pas exeptionel quand on regarde les commentaires.quand a la définition d une drogue, je ne suis pas venu pour jouer sur les mots, et pourtant…
regardez 2 minutes la video sur les dangers du zyprexa,vous verrez qu une mere parle de son fils decedé a cause des effets secondaires du zyprexa. quand bien meme la prise de poid excessive ne tue pas a 20 ans ou 30 ans, quand est t il a 40 ou 50 ans? l addition est salée pour le coeur entre le stress, la prise de poid et le manque d activitées, sans parler du reste (cigarettes alcol..)
je comprend que ce commentaire ainsi que le précedent puisse déplaire a certains, mais la libertée d expression me permet jusqu’a present, de dire se que je pense, et ne vais pas m en priver.
Il est faux de dire que la plupart des traitements font grossir. Seuls le Zyprexa et un peu le Risperdal et le Solian font grossir. Et il existe d’autres neuroleptiques qui ne font pas grossir : abilify, Leponex….
Les anti-dépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotine ne font pas grossir. Le lithium et le Depakote prescrits aux bipolaires ne font pas grossir non plus à ma connaissance.
J’ai un ami qui est sous Zyprexa depuis 2 ans est il n’est pas obèse.
Je maintiens que les neuroleptiques ne sont pas classés comme stupéfiants. Seuls les anxyolitiques de la classe des benzodiazépines provoquent une dépendance et une accoutumance.
L’alcool est fortement déconseillé avec la prise de neuroleptiques, si les patients boivent, c’est leur problème, pas celui des laboratoires.
J’ai regardé la vidéo sur le Zyprexa dont vous m’avez donné le lien. Je ne renie pas ce qui est dit mais la journaliste de France 2 oublie de dire que le laboratoire Lilly est l’un des seuls à communiquer sur la schizophrénie : ils ont ouvert le site « Schiz’ose dire » et il publie 2 revues :
– une sur le trouble bipolaire, la brochure « Biponews » ;
– une autre sur la schizophrénie, la brochure « J’avance ».
Et encore une fois il existe des neuroleptiques qui ne font pas grossir.
Quant à la liberté d’expression, elle est encadrée par la loi et comme je suis éditeur de ce site schizophrenies.wordpress.com et responsable de ce qui s’y dit, je ne laisse pas dire n’importe quoi sur les traitements qui soignent des malades.
je suis d accord .on départ on consulte ! j ai consulté . j ai prit du poids j ai tout arrêté mon psychiatre ne m entendait pas …Je trouve que l on est pas considéré.Il n y à jamais de place .Je vais voir mon médecin demain soir car je suis au bord du suicide .J’en ai assez de vivre cela .je me suis isolé des autres . Kelimportance je me retrouve dans ces propos mais on dira que c est normal si je suis BI Polaire . Je ne ressens pas l aide et je n’ai pas était déclarer en longue maladie .Par manque d’argent j ai tout arrêté . Je me sens très mal seule et incomprise . J’ai 43 ans Je traîne cela depuis longtemps et je me sens très fatigué . J’ai trouvé un CDI ,les horaires me sont difficiles et mon métier est dur et je me demande à quoi bon vivre ainsi ! J’ai l impression d’avoir une chaine aux pieds .
Tout à fait d’accord avec vous!
j ai dis ce que j avais a dire,et pour ma part, n’ai pas d argent a gagner en faisant la pub des médicaments. les lecteurs en jugeront par eux meme.
Il est vrai que la plupart des traitements font grossir mais pas tous autant.
Du coté des neuroleptiques, les prises de poids les plus élevées sont retrouvées avec l’olanzapine (Zyprexa) et la clozapine (Leponex), et celui qui fait visiblement le moins grossir est l’aripiprazole (Abilify).
Du coté des antidépresseurs, les ISRS entrainent souvent une prise de poids. Seul la fluoxetine (Prozac) semble avoir un effet plus régulateur sur l’appetit.
Les thymorégulateurs sont également associés à des prises de poids, à commencer par le divalproate (Dépakote), mais aussi le lithium et la carbamazépine (Tegretol).
Les symptômes de sevrages surviennent avec la plupart des psychotropes, à commencer par les benzodiazépines mais aussi les antidépresseurs, thymorégulateurs et neuroleptiques. Il ne s’agit pas de les considérer pour autant comme des stupéfiants. Il s’agit de médicaments, et un médicament n’est jamais anodin. Le syndrome de sevrage peut-être évité par une diminution très progressive des doses. Il est parfois difficile de faire la part entre syndrome de sevrage et authentique rechute, même pour les médecins. Il faut pourtant se référer aux équipes de soins et non à la propagande des sectes qui envahit régulièrement le web à travers des blogs ou des interventions sur les forums.
un syndrome de sevrage peut il causer hallucinations et voix au même titre que vomissements, insomnies…?
Parce qu’ils entraînent une prise de poids pouvant aller jusqu’à l’obésité morbide les neuroleptiques sont dangereux … comme tout produit actif.
je suis nul en ordinateur, mais je ne comprends pas que vous n’ayez pas signalé l’émission C’est dans l’air d’ yves calvi hier soir , crimes: la part des fous qui traitait de la schizophrénie et qui était passionnante; le 21 décembre 2011
bonjour je suis sous risperdal 50mg tous les 14 jours
je voudrais arreter definitvement en passant aux medicaments et en baissant graduelement
pouvez vous me donner le contact d’un psy qui m’autoriserait à arreter ce traitement?
merci.
Omez comprimé
Bonjour, pouvez vous communiiquer cette info: emission TV « Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau », samedi 5 Janvier sur ARTE, que l’on peut revoir ici:
http://videos.arte.tv/fr/videos/les-etonnants-pouvoirs-de-transformation-du-cerveau–7140992.html
En résumé: Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau
Pendant des siècles, on a considéré le cerveau humain comme un organe figé. Or, les recherches récentes ont mis en évidence ses incroyables capacités de réorganisation structurale et fonctionnelle. Après s’être penché sur la plasticité neuronale et ses effets possibles sur des handicaps physiques dans un premier film diffusé par ARTE en 2009, le psychiatre Norman Doidge explore ici les implications de ces capacités d’adaptabilité dans le traitement des troubles mentaux. Du Canada à l’Espagne, il part à la rencontre de chercheurs qui, s’appuyant sur « les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau » – titre du best-seller du docteur Doidge, paru chez Belfond en 2008 -, pourraient révolutionner le quotidien des patients atteints de troubles obsessionnels compulsifs, de stress post-traumatique, d’aphasie ou de schizophrénie, et leur offrir un espoir de guérison.
bonjour jai besoin de reponse jme suis marier avec un homme il et super gentil mes il a un probleme de drogue je suis enceinte de 36 sem il a un trouble de personaliter et il est schysophrene il la su resament il est en prison il sort la semaine qui senvien et senva dans un grand centre de dexintoc mes il a deja ete violent avec moi et je les prit mes mtn je vais avoir notre petite fille jai peur de ses comportement il pense que je planifie de le tuer que tous le monde est apres lui il minsulte 5 min apres il change de discour il senva pendant 3mois dans se centre et je pense pas retourner avec il paranoid extrement il menase souvent de me jeter dehore son que jai rien fais et meck que ma fille est la jai peur comment sa va se passer il est schysoprene plus trouble de personaliter et il ses montrer violent envere moi vous me conseiller quoi
Quitte à paraître un peu méchant, je te répondrai que quand on fait un enfant, il faut savoir avec QUI on le fait.
Maintenant, je trouve tout cela très triste pour ton bébé.
Bon courage quand même !
Bonjour,
Je suis étudiante assistante sociale en dernière année, dans un hôpital psychiatrique, où je travaille avec mes patients en co-construction sur leur projet de vie et la réalité sociale.
Je suis en train de rédiger mon mémoire de fin d’étude sur la prise en charge sociale des personnes schizophrènes. Je cherche à savoir si le modèle social actuel est adapté (ou en quoi il ne l’ai pas) à cette maladie et me questionne sur des ajustements à mettre en place dans la relation AS/schizophrène, allant vers le mieux être du patient et son autonomie.
Je cherche des personnes soufrant de schizophrénie qui accepteraient de répondre à mon cour questionnaire (2 pages), que j’ai construis de façon à être le moins intrusif possible. Celui-ci est anonyme et servira de base à ma réflexion. Si vous acceptez de me consacrer un peu de votre temps, vous pouvez m’envoyer un mail ed.sas@live.fr, pour que je vous l’envoie. En espérant que mon travail vous parle. Merci d’avance et bonne continuation.
je suis bipolaire
diagnostiquee il y a 18 ans
nombreux sejour en hopital
je vie en Australie
tentative de suicide en janvier dernier, cette annee a ete tres dure , plus de semaines de sejour a l’hopital qu’a ma maison
je suis de retour a l’hopital ou j’ai commencer les seances d’electrochoc therapy
je voudrais bien des avis sur d’autre personne qui ont recu ses traitements aussi
malgré la maladie, on peut s’en sortir. A lire « les 7 étapes de l’épanouissement » de Paulo COELHO. Courage à tous. Marie-Laure
Bonjour;
Je suis diagnostiqué bipolaire type II depuis une année, je prends du Zeprexa 10 mg et Tegretol, je travaille normalement la plupart du temps, sauf quelques effets secondaires comme la somnolence et l’étourdissement que je parviens au fil des jours à s’accommoder. Je veux savoir si la bipolarité est guérissable, sincèrement je commence à perdre gout à la vie, désintérêt aux activités quotidiennes (sport, associations, cercle d’amis…) je sombre de plus en plus dans la solitude qui est devenue mon mode de vie favori et au quotidien (je communique peu), je pense à arrêter ces médicaments pour mettre fin à cette cauchemardesque maladie qui est le trouble bipolaire (mood disorder)
C’est très difficile Lounes . Je vis cette situation.. Je me plais dans cette solitude et en même temps je me sens seule. Il y a une chose que j’ai appris c’est de ne pas arrêter le traitement . Parle en à ton psychiatre , dit lui que tu as des effets secondaires « somnolence au travail c’est pas top ».
Parfois après mes déprime je pète le feu ..puis je suis dans le BURN OUT total sans contrôler.
N’arrête pas des médicaments . Bon courage ..Garde tes amies , amis , ta famille c’est très important . Ce ou ces troubles altères notre façon de penser . Les gens ne peuvent pas comprendre notre souffrance pourtant certains s’y intéressent. De nombreuses associations peuvent d’aider .. tu vas y arriver.
BONJOUR,
tout d’abord tu n’es pas seule, ensuite ne pas te soigner est très dangereux. Si tu as l’impression de ne pas être écouté(e), n’hésites pas à changer de psy. Cette maladie est un peu plus reconnue qu’avant. Les médicaments permettent d’atténuer pas mal de symptômes, mais il y a du « travail personnel » à fournir. La vie est belle et il faut en profiter. On peut s’en sortir, c’est certes difficile, mais on apprend à vivre avec la bipolarité. Cela fait de nous des personnes différentes, c’est dans cette différence que nous sommes plus fort que les autres. bon courage à tous Marie-Laure
Tu pourras me donner de tes nouvelles ?